info - Juliette Benzoni - la douce Dame de Saint-Mandé

Hommage à Juliette Hommage des amis Presse - articles Les fidèles lecteurs



Chère Linda.
Ce fut un bonheur pour moi, de rendre hommage à l'extraordinaire talent de Juliette avec mes articles. Pouvoir écrire pendant des années au sujet d'une femme dont les livres ont émerveillée ma vie depuis l'âge de 15 ans, fut une grande joie. Point de Vue lui rend hommage mercredi prochain dans un article que j'ai écrit et dans lequel, je l'espère, vous vous retrouverez. La meilleure définition de Juliette que l'on puisse donner aujourd'hui est très simple: Juliette, c'était un immense talent. Etant l'un des très rares journalistes qui l'a suivi pendant si longtemps, il me semble que je peux dire aujourd'hui ceci. Les articles que d'autres auraient pu ,et sans doute du, écrire sur son œuvre, n'auraient jamais eu la force et la tendresse de tout ce que je lis depuis quatre jours sur vos pages Facebook et vos sites. C'est vous et ses millions de lecteurs qui ont rendu depuis un demi siècle, les plus beaux hommages à Juliette. Vous l'avez lu et aimé. Rien d'autres ne compte. Je vous embrasse et vous dit à bientôt. Pour parler encore de Juliette. Vincent Meylan.

(—) J
e me souviens très bien quand vous êtes venues chez Juliette la première fois. Elle était un peu anxieuse. Que pensez-vous qu'elles veulent me demander ? Me demanda-t-elle. Et puis immédiatement, elle vous a aimé toutes les deux. Vous l'avez rendu très heureuse. C'est vous qui lui ont fait comprendre qu'elle n'avait pas à s'inquiéter que les journalistes l'ignorent. Vous lui avez amené l'amour de ses lecteurs et c'est tout ce qui importe. Je vous envois mon mail en message privé, inutile de préciser que je serais ravi de vous rencontrer toutes les deux quand vous le voudrez.   Je vous embrasse très amicalement et n'oubliez pas de lire ce soir quelques pages d'un livre de Juliette. Vincent. 


Vincent Meylan a été le seul dans les médias, mis à part l'éditeur de Juliette, Grégory Berthier-Gabrièle, a réalisé ce qui se passaient dans le cœur des « filles des grands chemins » et dans le cœur de millions de lecteurs de Juliette. Il a écrit le plus beau des hommages à Juliette et sur une double page ! Merci beaucoup cher Vincent, infiniment. Je vous embrasse Linda



Les ambassadrices de Juliette
Linda et Frédérique

Le 10 février 2016
Facebook, la Reine des Romans historiques - texte de Linda et Frédérique

En parcourant tous vos messages, certains ont fait remarqué que la télévision n'avait pas annoncé la mort de Juliette Benzoni. C'est étrange en effet, c'est le moins que l'on puisse dire !

Nous vous rappelons gentiment que 4 des bestsellers de Juliette ont été adaptés pour la télévision sous la direction de la célèbre réalisatrice Marion Sarraut, Chevalier de la Légion d’honneur et Chevalier des Arts des Lettres. Juliette a elle-même écrit l'adaptation en collaboration avec Jean Chatenet ! La magnifique musique était de Robert Viger.
Comme nous l'apprenons dans de vieux articles de presse, tous les membres de l'équipe sous la direction de Marion Sarraut ont passé de merveilleux moments. Nous pouvons vous le confirmer avec à chaque rencontre avec les anciennes stars de ces séries, leurs yeux pétillaient en nous racontant leur expérience, ils nous ont spontanément accordé des interviews, partagé leurs souvenirs et ne manquaient jamais de parler de cette ambiance chaleureuse et amicale des tournages. Ils ont adoré Marion, sa manière de travailler et l'amitié sincère qui unissait les deux extraordinaires femmes Marion et Juliette.
Chacune de ces productions a rencontré le succès ! Marianne, une étoile pour Napoléon Catherine, il suffit d’un amour, Le Gerfaut et La Florentine.
Beaucoup d'acteurs populaires du cinéma et de la télévision sont venus y interpréter beaucoup de personnages historiques comme
Dora Doll, Philippe Clay, Pascale Petit, Geneviève Casile, Bernard Dhéran, Jean Duby, Amidou entre autres.
Ce fut aussi le commencement de belles carrières comme celle de
Corinne Touzet (Marianne ) Claudine Ancelot, inoubliable dans son rôle de Catherine de Montsalvy tout comme son partenaire Pierre-Marie Escourrou toujours aussi charmant. Laurent le Doyen qui joua le 1er héros masculin des livres de Juliette, Gilles de Tournemine et enfin Anne Jacquemin dans le rôle de Fiora Beltrami.
Ce vendredi Marion Sarraut et quelques-unes de ces personnes viendront rendre à Juliette un dernier hommage.

le 7 mars 2016
texte Linda Compagnoni Walther
J'aimerais profiter de cette opportunité pour dire à nouveau : le dernier livre de Juliette a été publié le 28 janvier 2016, deux semaines avant sa mort. Son titre est le suivant :
« Le Vol du Sancy - Des Carats pour Ava » ! Ce n'est pas le premier tome d'une nouvelle série policière comme nous avons pu le lire dans certains articles !

Le Vol du Sancy est la 15ème aventure de la série à succès des Aldo Morosini, publiée par les Editions PLON!

De son vivant, nous avions eu le courage à plusieurs reprises de nous plaindre de la façon dont Juliette Benzoni avait été traitée par la presse et le monde de la littérature ! Il faut bien l'avouer que la plupart des médias l'ont totalement ignorée ! Sinon comment expliquer qu'une seule chaîne de télévision a rendu cinq jours après sa mort, un petit mais magnifique hommage à sa vie et son œuvre ? Sinon comment expliquer pourquoi on ne lui ait pas remis la plus haute distinction française « Chevalier de la Légion d'honneur » ? Un auteur qui a vendu plus de 300 millions de livres et traduite en presque 30 langues différentes !

Après des jours et des jours où les médias n'ont fait que copier et recopier la même dépêche avec, qui plus est, de fausses informations sur Juliette, notre colère et notre déception étaient immense. Même si nous n'étions en aucun surprises par la chose ! Notre amitié pour Juliette et Anne était unique et nous pouvons affirmer combien Juliette était blessée par le mépris des média à son encontre ! Et dans le même temps elle nous disait que les messages de ses fidèles lecteurs étaient les seuls qui comptaient. Elle ne cessait de nous remercier de lui transmettre régulièrement les magnifiques messages remplis de sincérités que ses lecteurs lui laissaient sur nos pages officielles sur Facebook ou sur nos sites.

Enfin, avec une grande joie et une grande satisfaction, nous lisons le message qui nous a adressé sur Facebook nul autre que Vincent Meylan, journaliste, historien et rédacteur en chef au magazine Point de Vue. Il était un ami proche de Juliette et de Anne, sa fille.

Il nous a invité à la rédaction pour lire en avant-première son magnifique article « La Reine est Morte »! Il nous a ensuite invitées à déjeuner dans un superbe restaurant où nous avons parlé tout à loisir et ardemment de Juliette Benzoni, la romancière snobée par les médias ! Nous avons trouvé un ami et une âme sœur en Vincent et j'aimerais le remercier encore une fois de cette incroyable après-midi que nous avons passé en sa compagnie, la vieille l'inhumation de Juliette !

Après quelques jours, enfin quelques beaux et vrais hommages sont apparus dans la presse. Je vous ai choisi quelques-uns que j'ai aimés.

J'aimerais commencer par cette précieuse double page de Vincent en hommage à Juliette Benzoni dans Point de Vue, qui a réchauffé nos coeurs. Il nous a gentiment donné sa permission pour poster en exclusivité son magnifique article.

La Reine est morte
Vincent Meylan dans Point de Vue

extrait d'article dans Point de Vue

Aldo Morosini, le prince vénitien, est en deuil. Fiora Beltrami confie sa peine à Laurent le Magnifique dont elle est la maîtresse. Marianne, la cantatrice qui fut l’un des amours de Napoléon Ier, cache son chagrin dans sa propriété de Lucques. Catherine, la première héroïne, celle avec qui tout a commencé, il y a un demi-siècle, pleure dans sa chambre du donjon de Montsalvy. Sa vie au Moyen-Âge a été une épopée, grâce à Juliette Benzoni qui fut sa créatrice. Comme elle fut celle d’Aldo, de Marianne, de Fiora et de tant d’autres héros.

A l’âge de 86 romans, la reine du polar et du récit historique s’est éteinte dans sa maison de Saint-Mandé. Sa fille, Anne, était à ses côtés. Auteur consciencieux (elle détestait la féminisation des mots), elle venait de publier son dernier livre Le Vol du Sancy. Depuis l’annonce de sa mort, la page Facebook de ses deux plus grandes fans, Linda et Frédérique, croule sous les commentaires, touchants, élogieux bien sûr, et parfois poignants : « Comment vais-je survivre, sans son écriture, ses héroïnes, ses héros ? », écrit une lectrice fidèle. « La vie n’aura plus la même saveur », ajoute une autre.

Certains, bien médiocres, l’ont snobés pendant des décennies, lui reprochant d’être populaire. Et cela la touchait plus qu’elle ne l’avouait. Et pourtant combien lui enviaient ses tirages ? Un Benzoni sur le marché de l’édition, c’était la garantie de centaines de milliers d’exemplaires vendus partout dans le monde. (—) La formule qui la désignait comme la reine du roman historique n’était pas une figure de style. Son règne était absolu depuis plus de vingt ans. (—) Juliette Benzoni, c’est avant tout une culture encyclopédique. Elle savait comment était disposé le moindre cailloux de la route qui menait à Montsalvy, le château de son héroïne, Catherine. Elle aurait pu compter les carreaux des églises de Florence afin de déterminer à quel endroit Julien de Médicis avait été assassiné lors de la conjuration des Pazzi. Elle avait voyagé en Europe bien sûr, mais aussi en Asie, au Moyen-Orient, au Canada. Et quand elle racontait les découvertes d’Aldo Morosini à la recherche des émeraudes du prophète, sur le piton rocheux de Massada, en plein désert de Judée, elle utilisait ses propres notes de voyage. Car la vie de Juliette Benzoni, sa vraie vie, n’avait pas grand chose à envier à celles de ses héroïnes. Arnaud de Montsalvy, le fantasque et agaçant mari de Catherine, n’était autre que son propre époux, le capitaine Benzoni, un militaire rencontré au Maroc qu’elle trouvait parfois un peu exaspérant. Les errances de la même Catherine dans la Bourgogne des ducs en temps de guerre étaient très proches de sa propre vie à Dijon, pendant la seconde guerre mondiale. (—)

Je fais partie de ces aficionados qui ont découvert la drogue Benzoni à 15 ans. Certains assurent leur addiction en s’octroyant une petite dose tous les jours. (—) Moi c’était une drogue massive une fois par an avec un livre que je dévorais en un week-end, tard dans la nuit.
 


Juliette la Papesse du roman historique est morte à l'âge de 95 ans.

Gilles Heuré dans Télérama.fr

La romancière Juliette Benzoni, auteur de 86 ouvrages historiques, vendus à plusieurs centaines de millions d'exemplaires, est morte à l'âge de 95 ans.
On vient à l’Histoire, ou à la lecture, ou aux deux à la fois, de différentes façons. Il suffit de lire les premiers messages de condoléance sur le site de Juliette Benzoni pour comprendre à quel point cette romancière, décédée à l’âge de 95 ans, a su passionner des millions de lecteurs avec quatre-vingt-six livres, traduits en plus de trente langues. Cataloguée « roman historique », une tâche pour les spécialistes tenant à l’écart tout ce qui n’est pas strictement universitaire, elle en conçut une certaine amertume qui s’effaçait pourtant, comme elle nous l’avait confié en 2003, devant le nombre de ses lectrices et lecteurs, le plaisir qu’elle pensait pouvoir leur donner, confirmé par le courrier qu’elle recevait.
Vieille dame digne dans son appartement de Saint-Mandé, elle nous avait dit sa passion pour l’écriture et l’histoire : « Je n’ai jamais fait de plan, mais j’ai toujours beaucoup de respect pour mes personnages ». Trop romanesques, trop inventés (même adossés à une sérieuse documentation) et pour tout dire un peu trop fleur bleue, ses romans n’auraient-ils été que des bluettes dans lesquelles l’histoire de France se serait écoulée dans les lits des reines et les couloirs des palais ? Sans doute, mais d’autres spécialistes pourraient alors se pencher sur les multiples habitudes de lecture et retenir ce qui a du mal à être cerné : le plaisir d’écrire et celui de lire.
Lire l’article dans son intégralité : ICI


La Grande Librairie
sur France 5

La seule chaîne de télévision française jusque là qui a considéré qu'il était bien de mentionner le décès de Juliette Benzoni ! Très triste vraiment mais nous en apprécions d'autant plus l'hommage de "La Grande Librairie". Merci France 5

l'enregistrement de l'extrait de la Gazette de l'émission "La Grande Librairie" sur France 5. Il s'agit de : "Des auteurs face à leurs lecteurs" dans l'émission quotidienne "Aujourd'hui Madame" diffusée le 28 juin 1978



Saint-Mandé pleure sa reine du roman historique
Corinne Nèves dans le Parisien

Elle était la reine du roman historique. Et c’est dans sa maison de Saint-Mandé, où elle est arrivée à l’âge de 13 ans, que la romancière Juliette Benzoni est décédée le week-end dernier, à l’âge de 95 ans. La petite cité lui dit au revoir ce vendredi, jour de ses obsèques, à 10 heures, en l’église Notre-Dame de Saint-Mandé.
Dans sa longue vie, Juliette Benzoni a écrit 86 romans, saga et essais, vendus à 30 millions d’exemplaires dans le monde. Plusieurs avaient été adaptés pour la télé ou le cinéma. Dans la ville, le décès de l’écrivaine émeut beaucoup. « Nous avons mis ses ouvrages en avant, déclare Florence Breuil, responsable de la médiathèque. Dès mon arrivée, il y a 10 ans, j’ai découvert l’engouement local pour l’écrivaine. A chaque sortie, elle nous adressait un volume, parfois dédicacé. Nous avons les trois quarts de ces romans et il y a toujours des listes d’attente. »

« Je l’ai toujours connue, affirme le maire Patrick Beaudouin (LR). Elle m’a beaucoup soutenue lors de ma 1re campagne municipale en 1995 ». Avant cela, la dame s’était même présentée en 1975 sur une liste concurrente de celle de son second époux, gaulliste comme elle. « C’était une femme combattive, assure avec émotion sa fille Anne, sa complice. C’était aussi une maman très présente, très attentive. Veuve avec deux enfants, elle nous apportait deux fois plus d’amour ».

L’ancienne élue Françoise Fougerole, sa voisine, a perdu une grande amie : « Douce et active, elle souffrait de ne plus pouvoir travailler. Auparavant, elle s’activait tous les jours dès 9 heures sur une vieille machine électrique Olympia dont elle faisait venir les cartouches de Belgique. Puis elle consacrait ses après-midi à la recherche de documents et de prises de notes. Il y a peu je lui demandais si elle souffrait ? Elle m’a répondu, « Ah si seulement… Au moins cela m’occuperait. » Elle était lasse, sa vue avait beaucoup baissé ».

Son dernier opus, « Le vol du Sancy, des carats pour Ava », sorti le 28 janvier, était prévu en deux tomes. Fatiguée, elle avait réécrit les trois dernières pages pour conclure l’histoire dès le tome 1. « Elle avait commencé l’histoire de la duchesse de Berry, affirme Grégory Berthier, son éditeur chez Plon. Il restera dans les archives de sa famille ».

Juliette Benzoni, mort d'une reine du roman historique
Astrid Eliard dans le Figaro

DISPARITION L'auteur de la série des Catherine ou des Marianne, concurrentes d'Angélique, marquise des anges. aimait mettre en scène la fin du Moyen Age et la Renaissance. Une oeuvre traduite dans une vingtaine de langues.
 

Décès de Juliette Benzoni, la reine du roman historique
Cécile Mazin
dans AL-Actua-Litté

« Nous sommes au regret de vous annoncer que malheureusement notre très très chère Juliette, notre auteur tant aimée, nous a quittés ce week-end. Elle s’est éteinte tout doucement dans son sommeil, sa fille Anne à ses côtés ! », a-t-on appris sur la page officielle de l’auteur Juliette Benzoni. Lire l’article dans son intégralité : ICI

Juliette Benzoni nous a quittés. Elle avait 95 ans.
Communiqué de Presse
Fleur Pellerin a fait parvenir un communiqué de presse pour saluer la mémoire de l'auteure

D'abord journaliste passionnée d’histoire au début des années 1950, elle trouva tout naturellement sa voie en s’imposant comme la reine du roman historique populaire. Elle possédait ce don de savoir raconter une histoire et de nous transporter avec une facilité déconcertante ailleurs, dans l’espace et le temps : aux temps de la Renaissance italienne, des croisades, de la guerre de Cent Ans, dans le Grand Siècle…

Traduite dans une vingtaine de langues, Juliette Benzoni aura su toucher des millions de lecteurs fidèles à travers le monde: autant d’amis toujours impatients de la retrouver depuis la parution de son premier roman, il y a déjà plus d’un demi-siècle.

Elle mêlait avec beaucoup d’art et de subtilité la grande et la petite histoire. Écrire était sa passion comme en témoignent les 86 romans et essais qu'elle laisse en héritage à ses lecteurs. Son dernier roman « Le Vol du Sancy » - Des carats pour Ava? était sorti il y a quelques jours.
J’adresse mes condoléances à ses proches.

Le Magazine des Saint-Mandéens
Hommage à Juliette Benzoni

Monsieur Le Maire de Saint-Mandé
Patrick Beaudouin
Je tiens à vous faire part de mes sentiments attristés après le décès de Juliette BENZONI, figure emblématique de notre ville et écrivaine de renom aux plus de 300 millions de livres vendu (!). La majorité municipale et moi-même adressons à sa fille Anne, ancienne coneillère municipale, à ses proches, à ses lecteurs attristés, nos sincères condoléances.

Twitter Anne Golon, auteur de ANG
É
LIQUE
Anne Golon@AnneGolon 8.Feb.2016
C'est avec une grande tristesse que je vien d'apprendre le décès de Juliette @JulietteBenzoni. Survenu ce week-end entourer de sa fille.
 

Gekrönte Häupter, weiche Betten
Martin Ebel
dans TAGES-ANZEIGER
Von Kritikern übersehen, vom Publikum geliebt: Juliette Benzoni, die Königin des historischen Romans in Frankreich...

A mon entière satisfaction le journal suisse TAGES-ANZEIGER à Zürich m'ont particulièrement écouté quand je les ai appelés pour les informer du décès de Juliette. Ce même article peut se lire aussi sur Basler-Zeitung my  home-town Bâle. Linda,

 




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