Claudine Ancelot a ouvert une nouvelle fois sa :

« Boîte Magique »

Jusqu'ici la page THÉÂTRE n'était qu'une liste de noms des pièces dans laquelles notre chère Claudine avait joué. J'avais recherché en vain quelques photos ou informations. Je suis enchantée de vous présenter d'ici quelques jours, les documents de Claudine m'a généreusement offerts. Merci chère Claudine, pour ces fantastiques documents sur votre carrière théâtrale.

Linda, webmaster
Novembre 2011

 

1990

LE MARIAGE DE FIGARO
de Beaumarchais



Théâtre Populaire des Cevennes

mise en scène : Jean-Claude Sachot
rôle :
 « la Comtesse »

avec :

Claudine Ancelot

et bien d'autres...

 
 

 




Paris, 1785 (édition originale du Mariage de Figaro)


 

RÉSUMÉ
Figaro, entré au service du comte Almaviva, doit être fiancé à Suzanne, première camériste de la comtesse. Mais le comte, qui commence à s’ennuyer avec son épouse, est à la recherche d’aventures galantes. Attiré par Suzanne, il envisage de restaurer le droit de cuissage du seigneur (le droit du seigneur), qui lui permet de goûter aux charmes de toute jeune mariée avant que le mari ait pu en profiter.

Aidé par le peu scrupuleux Bazile, le comte fait à Suzanne des avances de plus en plus claires, qui entraînent celle-ci à tout révéler à Figaro et à la Comtesse.

Le comte doit alors faire face à une coalition qui finira par triompher de lui. Ridiculisé lors d’un rendez-vous galant qui était en fait un piège, il se jette à genoux devant son épouse et lui demande pardon devant tout le village rassemblé, tandis que Figaro se marie enfin avec Suzanne.

L’intrigue est enrichie par l’intervention de plusieurs autres personnages, notamment Chérubin, jeune page follement amoureux de la Comtesse, mais aussi de Suzanne et de Fanchette, qui vole le ruban de la Comtesse et fait partie d'un entretien entre Suzanne et le Comte. Pour continuer les permutations amoureuses, Marceline aime Figaro et vient exiger auprès du comte qu'il se marie avec elle (ce qui deviendra impossible lorsqu’on apprendra, à l’acte III, qu’elle est la mère naturelle de Figaro !).

L’un des moments forts de la pièce est le monologue de Figaro (acte V, scène 3), d'ailleurs le plus long de l'Histoire du Théâtre français, dont un passage qui résume à merveille les griefs accumulés contre la noblesse, incarnée par le comte Almaviva, quelques années avant la Révolution :

« Parce que vous êtes un grand Seigneur, vous vous croyez un grand génie !... Noblesse, fortune, un rang, des places : tout cela rend si fier ! Qu’avez-vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus... »

 

 



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